Comment accéder à des aliments sains quels que soient ses revenus, son lieu de vie et sa culture ? Le géographe Julien Noël décrypte le concept de justice alimentaire.

Que signifie vraiment « consommer local » ? Serait-ce l’ultime rempart pour préserver un territoire quand l’économie mondiale vacille, comme face à la pandémie ? L’auteur Aurélien Bernier temporise.

Des familles de l’agglo nantaise tentent de changer leurs habitudes alimentaires à budget constant, avec le Défi Alimentation.

Manger bio, local et de saison, ce n’est pas (plus) que pour les riches. Soutenues par la Métropole nantaise, des initiatives favorisent l’accès à une alimentation digne.

À Nantes, des étudiant·es ont investi un potager collectif pour tester un projet destiné à nourrir les plus démuni·es.

Le numéro #35 des Autres Possibles s’intéresse à l’accès à l’alimentation et aux initiatives qui émergent dans la métropole nantaises pour une alimentation digne. Découvrez l’édito de ce nouveau numéro.

Si le sel de Guérande s’exporte dans le monde entier, les paludiers n’ont jamais relégué les valeurs humaines et environnementales de leur savoir-faire. Ils les diffusent, elles aussi, au-delà des frontières.

Avec leur houblonnière et leur brasserie locale, les frères Marzelière relèvent le défi de l’entreprise d’insertion, séduits par l’idée de former par la terre – et la bière.

Certains producteurs locaux, attristés de gaspiller le fruit de leur travail, ont trouvé le moyen de lutter contre le gâchis via le glanage, une meilleure distribution ou même une appli.

Anne Belleil, installée comme maraîchère à Gétigné, près de Clisson, depuis 2006 a savamment choisi et expérimenté sa distribution. Aujourd’hui elle associe circuits courts et grande surface… Et a trouvé chaussure à son pied.

En 2016, avant son ouverture, les membres de Scopéli revenaient sur la multiplication des supermarchés coopératifs (La Louve à Paris, La Cagette à Montpellier…) en France. Un modèle qui prête à discussion.

Fiche pratique. Et si la solution pour réduire le gaspillage, manger sain toute l’année, conserver ses aliments sans dépenser d’énergie et combattre la flemme des jours où on n’a pas envie de cuisiner, venait de nos grands-mères ?

Privilégier les aliments végétaux diminue fortement l’impact de nos assiettes sur la planète. Et y ajouter du plaisir améliore l’humeur ! Des spécialistes de la transition alimentaire de Loire-Atlantique nous confient leurs recettes salées et sucrées.

Selon l’asso nantaise Apala, pour réduire l’impact environnemental de l’alimentation humaine, il faut préférer les végétaux : aliments les moins énergivores. Un entretien pour (re)penser son alimentation.

Le monde d’après se fera-t-il sans bistrots ? Pour faire face au vide intersidéral de leurs caisses pendant le confinement, les bars nantais n’ont pas le choix : cagnottes de dons, pré-vente, vente à emporter… Ils en appellent à la […]

Remplir son caddie tout en respectant les règles du confinement et en soutenant les producteurs locaux, c’est possible sur l’agglo nantaise.