Plongés au cœur de l’Orchestre National des Pays de la Loire, nous avons eu l’occasion d’interviewer Enzo Ferrarato, un jeune clarinettiste de 28 ans qui ne manque pas d’humour. Un article réalisé par des élèves du lycée Saint Aubin-La Salle, de Verrières-en-Anjou.
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Pouvez-vous vous décrire en une musique ?
Pour me la raconter, je vais dire Tchaïkovski, un compositeur de musique classique. Sinon, en vrai, en ce moment, j’écoute du Lorenzo, donc je dirais plutôt Nique la BAC.
Si vous deviez emmener deux choses pour partir sur une île déserte ?
J’aimerais partir avec ma copine, mais ce n’est pas une chose. Alors pour vous répondre, je dirais mon téléphone portable – je suis un peu accro – mais il faudrait du réseau. Et puis… ces lunettes roses [prêtées pour la séance photo] !
Et votre clarinette ?
Et oui, la clarinette aussi. Bien sûr !
Quelle est la première musique que vous écoutez le matin ?
Ça dépend, c’est une playlist aléatoire. Si je regarde, ce matin, c’était Maldone de Zouk Machine.
Quelle est votre source d’inspiration ?
Je m’inspire beaucoup du stoïcisme, un mouvement philosophique. En gros, c’est « tout ce qui ne dépend pas de moi ne m’atteint pas ». Ça m’aide à avoir l’esprit bien plus tranquille, à vivre mieux.
De quel instrument n’aimeriez-vous pas jouer ?
Je dirais le cor. J’aime beaucoup cet instrument. Mais c’est très compliqué d’en jouer. C’est un instrument ingrat.
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