Cafés associatifs : ensemble sur le zinc
Les cafés associatifs ont un truc que les autres n’ont pas : même si on passe la porte séparément, on finit ensemble, autour du comptoir.
Les cafés associatifs ont un truc que les autres n’ont pas : même si on passe la porte séparément, on finit ensemble, autour du comptoir.
Ce matin d’hiver, Ludovic et Linda alpaguent les passant·es de la rue Jules Noël, à Nantes. « Entrez, venez boire une boisson chaude ! » Au pied des immeubles du quartier du Breil, Au Petit Bonheur est un endroit à part.
« Comme une famille, résume Linda entre deux conversations avec ses copines. Si on ne voit pas un habitué pendant deux ou trois jours, on s’inquiète. On passe chez lui, ou on l’appelle. » Dans ce café associatif, ni cotisation, ni adhésion, tout est gratuit.
Le local appartient à la Ville qui le loue à un tarif modéré. Depuis octobre 2016, le lieu est ouvert tous les jours de la semaine grâce à une subvention de la CAF et est approvisionné en grande partie grâce aux dons.
« Pour preuve : c’est rare que l’on doive acheter du café » se félicite Yasmina Cappato. La charismatique présidente de l’association Vivre libre 44, qui chapeaute…
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